Ce jeu est une autre réussite offerte au N'64. Le jeu consiste à ramasser des bananes en or afin d'ouvrir tous les mondes jusqu'au dernier boss King K. Rool. Dans chaque monde, il y a un boss à vaincre afin de libérer, à la fin du jeu, le vrai et bon roi crocodile. Pour atteindre ses bosses il va falloir avoir suffisamment de petite banane pour ouvrir la porte. Le jeu, de plus, impose cinq personnages qu'il va falloir utiliser dans chaque monde. Ces personnages sont Donkey Kong, Diddy Kong, Kanky Kong, Tiny Kong et Chunky Kong. Chaque personnage a différent pourvoir comme Tiny qui peut planer voir voler. Chaque boss oblige de se battre contre un de ses personnages en particulier.
Graphiquement parlant, le jeu est encore une fois comme les autres jeux de la 64 soient beaux pour le temps, mais surtout très beau comparer au Donkey Kong country sortie avant ce jeu. Le jeu est très amusant et vaut vraiment la peine d'être joué encore et encore pour se remémorer le bon vieux temps.
Graphiquement parlant, le jeu est encore une fois comme les autres jeux de la 64 soient beaux pour le temps, mais surtout très beau comparer au Donkey Kong country sortie avant ce jeu. Le jeu est très amusant et vaut vraiment la peine d'être joué encore et encore pour se remémorer le bon vieux temps.
Voici un lien qui mène à une vidéo de l'intro du jeu où tous les personnages font un merveilleux rap : http://www.youtube.com/watch?v=q-yZ7_enlWA
Note : 9/10
Donkey Kong, un bon jeu sur super Nintendo 64, maintenant et toujours. De très bonne explications, des commentaire pertinent...Un bon contenue détailler et pertinent..
RépondreSupprimerAh oui! Je me souviens de ce jeu, c'est un très bon jeu, je l'ai vraiment aimé dans le temps. Sa me rappel tellement de bon souvenir! Très bonne arcticle David, lache pas!
RépondreSupprimerPascal
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerExcellent jeu, ton blog me rappelle de bons souvenir..
RépondreSupprimerCome on Cranky take it to the fridge.
RépondreSupprimerJeu trop bon avec un rap d'enfer comme générique de départ.